Billetterie sur place ou en ligne sur Festik quelques jours avant le spectacle.
Salon d'honneur de la Mairie
dans le cadre de MOUVEMENTS#3 (en partenariat avec l'ADECC, Act en scène, Les Bazis et le CDCN Toulouse-La place de la danse)
Les participant·e.s de l’école de musique Couserans-Pyrénées rencontrent Anne-Laure Chelle de la Cie Alcaline, artiste chorégraphique du territoire, pour expérimenter la relation danse-musique sous forme de performance improvisée. Le rapport à l’espace, au temps, à l'autre seront des prétextes pour jouer ensemble avec les sons, les matières et les corps.
Chorégraphie et interprétation, Anne Laure Chelle, accompagnée par l école de musique Couserans Pyrénées
gymnase du Parc des expositions
dans le cadre de MOUVEMENTS#3 (en partenariat avec l'ADECC, Act en scène, Les Bazis et le CDCN Toulouse-La place de la danse)
Crédit photo : Loran Chourrau
Créer une nouvelle écriture à partir d’un matériel corporel existant, Jamais la fin déploie sa recherche dans la continuité chorégraphique des deux précédents duos de la compagnie.
Mélanger nos pas jusqu’à les confondre, les oublier et les recréer : voilà ce qui nous intéresse. Cette notion de continuum artistique nous a donné l’envie de questionner le concept de finitude, caractère de ce qui est fini.
Il a été évident pour nous d’inclure dans notre création la notion de fête. À nos yeux, ces espaces de fête sont des endroits où tout est possible dans un cadre safe, des lieux de lâcher-prise et de connexion à soi et à l’autre. Ce sont des espaces hors du temps, où l’exploration des sens est omniprésente. C’est un exutoire physique et mental qui nous fait nous sentir vivant·es.
La rencontre des corps y est omniprésente, et très vite l’individu devient groupé. Jongler entre le singulier et le collectif, chercher le déploiement d’un corps et d’un langage commun malgré l’exigence du cadre donné.
Tout au long du processus de création, nous nous sommes appuyé·es sur le poème « Dancefloor politique » de Hewan Aman, tiré de l’ouvrage collectif guidé par Sarah Gamrani, Au-delà du club, recherche poétique, féministe et collaborative pour réimaginer les pratiques festives des scènes électroniques.
Nana Mouvement. Chorégraphes : Angelica Ardiot & Naomi Charlot
Interprètes : Angelica Ardiot, Naomi Charlot, Philippe Renard et Thomas Queyrens. Lumière : Cloé Freneix
gymnase du Parc des expositions
dans le cadre de MOUVEMENTS#3 (en partenariat avec l'ADECC, Act en scène et Les Bazis)
Spectacle de danse participatif coaché par un prof d'aquabike.
Le public est encouragé à danser par l'artiste qui lui fournit un échauffement, des encouragements et des félicitations. Cela fonctionne comme un karaoké mais à la place de chanter on danse sur des images de films connus dans lesquels ça danse. Le dispositif permet d'oublier le regard de l'autre pour vaincre les appréhensions à la danse.
Attention ! C'est comme une boum : on danse ; mais c'est comme au théâtre : ça commence à l'heure !
Hyper mature. Solo de David Malan
salle communale
en partenariat avec l'Estive (scène nationale) et le Comité des fêtes de Taurignan Castet
Après avoir traversé une expérience de vie intense, Jur revient sur scène, traversée par une énergie créative folle. Elle fait tinter toutes les cordes de son arc pour composer un patchwork de rêves et d'envies, de paysages intérieurs et d'amis invités... Clown, musique, théâtre, marionnette, cirque, vidéo s'entrechoquent et résonnent dans ce solo accompagné.
Écriture et mise en scène Jur Domingo ; Regard extérieur Henri Devier ; Court métrage Juliette Zannon et Jur Domingo ; Avec Jur Domingo et Dolorès Calvi ; Natalia Fandiño et Juliette Zannon ; Création lumière Eric Fassa et Mathilde Montrignac ; Création sonore Antoine Eole et Jur Domingo ; Régie son Martin Martin ; Fabrication marionnette Manoniva Burratino
GAEC de La Chouette
Co-réalisation avec l'ADECC dans le cadre des Ateliers du spectateur
Après avoir traversé l’essor de la révolution verte, Hector, paysan du Sud-Ouest de la France, connaît une rupture inattendue qui éveille ses doutes et l’amène à réinventer sa vie. Le chant des sillons retrace l’évolution du monde agricole, des années 1930 jusqu’à aujourd’hui. Librement inspiré de l’histoire de ce paysan, ce récit, porté par le théâtre d’objets, questionne notre lien à la terre et nos propres cycles de transformation.
Ecriture et interprétation : Aude Lamarque, Yannick Behaegel ; mise en scène et technique : Yannick Behaegel ; regard extérieur :Flavie Chauvin ; production : Pollen production
Salle des fêtes
Quand les corbeaux auront des dents...
C'est la quête un peu folle d'un corbeau inconscient
C'est une légende oubliée des Princes-Gris disparus
C'est du maïs qui croisse et des corneilles qui décroassent
C'est le bruit assourdissant que font les scarabées roulants
C'est Charles Ingalls qui refait le toit de sa niche
C'est la beauté cachée des nuisibles
C'est un corbeau qui trouve des dents...
Distribution : Comédiennes : Cassandre Forget, David Lochen, Laurent Bonnard ou France Cartigny. Regards extérieurs : Silvia Di Placido, Laurent Bonnard, Nathalie Pagnac Adaptation : Cassandre Forget, Cathy Chioett ; Construction marionnette : Manon Dublanc, avec le coup de patte de Vincent Baccuzi ; Musique : Pierre Omer, avec la complicité de France Cartigny ; Création lumière : David Lochen Administration de production : Laetitia Franceschini ; crédit photo : EIsa Matras